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Tensiomètre

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Appareils de santé connectés : la magie n’opère pas avec les français

La France n’est pas encore séduite par les nouveaux gadgets qui permettent de mieux surveiller la santé. Selon une étude effectuée par l’Ifop pour l’Atelier BNP-Paribas, seulement 11% des français utilisent des appareils de santé connectés pour leur santé. Le premier appareil qui intéresse le plus de français c’est la balance connectée car 6% des français en possèdent. Pour les montres connectées, le tensiomètre et le bracelet coach électronique, 2% en jouissent. Les français qui optent pour ces appareils ont un but en particulier, soit pour perdre du poids ou vraiment pour surveiller une santé à risque.

Si le pourcentage des français qui disposent de ces appareils reste faible c’est que les français restent sceptiques quant à leurs réelles efficacités. En effet, presque la moitié des français doutent de l’efficacité des appareils et 29% pensent que ces appareils servent à récolter les données personnelles des utilisateurs. Ces données peuvent être vendues et exploitées par des tiers au marché noir. Il peut s’agir d’organismes publics, privés ou même d’entreprises.

Aux Etats-Unis ce n’est pas le cas. L’engouement est remarquable car 21% des américains se servent de ces appareils pour éviter les risques liés à la santé. Le marché des appareils de santé connectés a explosé depuis 2010 et jusqu’à maintenant les chiffres ne cessent d’augmenter et les nouveaux gadgets font leur apparition. Mais malgré le fait que les français ne soient pas trop enthousiastes avec l’utilisation des appareils de santé connectés, le marché est toujours en hausse car en 2017, 10 millions de personnes en bénéficieront.

Technologie : un compteur de tension artérielle relié avec un smartphone

Des chercheurs de l’Université Nihon viennent de développer un compteur de tension artérielle portatif qui se connecte avec un smartphone. L’idée s’est inspirée du compteur de tension artérielle sans bracelet du professeur Sadao Omata du Centre de recherche universelle pour les technologies et l’ingénierie avancées. La présentation de ce nouvel appareil s’est faite durant le Salon Medica 2013 à Düsseldorf en Allemagne.

Cette nouvelle technologie est beaucoup plus améliorée que l’ancienne version du compteur sans bracelet disponible depuis 2012. Les principales fonctionnalités ont été miniaturisées grâce à une puce incorporée et le compteur est aussi équipé d’un Bluetooth 4.0. Avec ces améliorations, il suffit juste de mettre le doigt sur le capteur lumineux pour avoir les ondes du pouls par réflexion. Le capteur propose une technologie DEL (diode électroluminescente) qui assure le traitement du signal. Les données sont ensuite retransmises sur l’application smartphone pour qu’elles soient traitées.

Pour les personnes qui ont une tension artérielle instable, cet accessoire est très pratique car il peut être emporté partout et les données fournies sont précises. Facile d’utilisation, il suffit d’avoir l’application pour connaitre la pression artérielle. Même si ce produit n’est pas encore disponibles sur le marché actuellement, les concepteurs ont annoncé qu’il sera mis en vente vers le mois de mai-juin 2015. D’ailleurs toute l’équipe du Pr Omata envisage déjà d’innover les technologies médicales et de créer un nouvel appareil de mesure non invasive de la glycémie.

La technologie pour le bien être des personnes âgées

De nos jours, les modes de communication évoluent à grande vitesse et si les jeunes arrivent à suivre, les personnes âgées ont souvent du mal à entrer en relation avec leurs proches via internet. Pour leur faciliter la tâche, les entreprises ne cessent de créer de nouvelles tablettes numériques adaptées et des téléphones portables faciles d’utilisation.

Un « Compagnon Digital »

Sous l’effet du grand âge, nous sommes tous exposés à la perte d’autonomie et aux effets des maladies chroniques. Pour lutter contre la solitude et la marginalisation des seniors dans une société vieillissante, l’entreprise Caresquare a créé « Mon Compagnon Digital », un écran tactile sans clavier ni souris qui facilite la manipulation par les personnes âgées. Cet outil informatique aidera les aînés à sauvegarder leur autonomie en ayant accès à internet, en communiquant par Skype, en disposant du service de partage de photos Picasa, en utilisant une boîte mail et en accédant à un agenda partagé.

Entrer en relation avec la famille

Outre la sensation d’évolution avec le temps, cette tablette tactile permet de faciliter les relations avec les proches et les familles éloignées. Avec la vidéoconférence, vous pouvez entrer en contact avec plusieurs membres de la famille qui seront soulagés de pourvoir vous observer via webcam.

Le suivi santé

Avec la promotion du maintien à domicile, les personnes âgées ont besoin d’avoir accès à la télémédecine pour le suivi de leur état de santé. Avec « Mon Compagnon Digital », elles bénéficient d’un appareil révolutionnaire doté de fonctions de suivi à domicile et connecté à tous les appareils médicaux indispensables pour une santé fragilisée : tensiomètre, balance, glucomètre, etc. Enfin, les données enregistrées seront stockées et envoyées aux services médicaux pour prévenir à temps une complication.

Le point sur les dernières nouveautés en matière de e-santé

La télémédecine est un domaine qui évolue constamment et les spécialistes ne cessent de proposer de nouvelles méthodes de soin très performantes. En Suisse, les experts de l’École polytechnique fédérale de Lausanne travaillent sur la création d’une puce sous-cutanée qui servira de carnet de santé numérique. A part cette technologie médicale futuriste, les malades de 2013 ont déjà accès à différents outils pour faciliter le « Quantified Self » ou mesure de soi.

Le numérique au service des patients

Depuis 2007, le mouvement « Quantified Self » permet aux consommateurs de recueillir eux-mêmes leurs paramètres corporels mesurables (taux de graisse, rythme cardiaque, pression artérielle, oxygénation du sang, etc.) et de les transmettre aux médecins traitants ou les partager sur les réseaux sociaux. C’est cette nouvelle tournure qui a incité la Commission Nationale Informatique et Liberté à mettre en place des mesures sécuritaires sur le partage de données physiologiques.

Quantified Self : le capteur d’activité

Dans le domaine du « Quantified Self », il y a le capteur d’activité comme Fitbit qui permet de mesurer les mouvements grâce à un accéléromètre et ou le Fitbit One doté d’altimètre pour quantifier les ascensions ou analyser le déroulement du sommeil. Chez Nike et FuelBand, le dispositif de suivi du sommeil est relié à un smartphone pour faciliter le partage des informations. Pour Basis, l’appareil est doté d’un capteur de fréquence cardiaque optique, de température et de transpiration afin de recueillir les données sur l’intensité de l’effort.

Les tensiomètres

Les Français sont les mieux servis avec le tensiomètre Withings connecté sur le « iPareil », téléphone qui enregistre la valeur de la tension artérielle. A part le suivi de l’hypertension, cet appareil est relié aux balances de la marque pour confronter les résultats obtenus avec ceux de la graisse.

L’automesure pour détecter l’hypertension artérielle masquée

Une récente étude de l’Inserm affirme qu’il existe bien des cas d’hypertension artérielle masquée. En se manifestant uniquement à domicile, ce type d’hypertension n’est jamais détecté par le médecin et les spécialistes encouragent l’automesure.

Sur le point de vue scientifique, l’hypertension artérielle est un trouble cardiovasculaire se manifestant par une importante pression sanguine au niveau des artères. Pour prévenir les risques de maladies cardiovasculaires, complications rénale ou neurologiques, il est indispensable de surveiller l’hypertension artérielle aigüe, chronique ou temporaire des personnes âgées, des obèses ou des diabétiques.

Une surveillance à domicile

Pour choisir le bon tensiomètre, il vaut mieux consulter la liste des appareils recommandés par la Société Européenne d’Hypertension ou ESH et toujours se fier aux modèles qui mesurent la tension au niveau du bras ou du poignet. Pour les personnes ayant un bras de circonférence supérieure à 30 cm, il vaut mieux choisir un tensiomètre radial (poignet) au lieu d’un modèle huméral (bras). En achetant votre appareil, vous pouvez vous informer auprès du médecin traitant, du pharmacien ou des vendeurs spécialisés en matériel médical.

Les conditions d’utilisation

Avant la toute première utilisation de votre tensiomètre, lisez la notice et déposez l’appareil sur une table. En ce qui concerne votre état de santé, évitez de faire de l’activité physique intense avant la prise de tension, évitez de fumer et restez calmement assis 5 minutes avant l’opération. Il ne vous suffit plus que d’installer le brassard de l’appareil suivant les indications du fabricant. Pour un modèle huméral, le bras doit être placé à hauteur du c½ur (poitrine au niveau du sein) tandis que la main sera mise au niveau du c½ur pour un appareil radial. Il ne vous reste plus qu’à vous immobiliser et attendre que les chiffres de la « pression systolique » et la « pression diastolique » apparaissent. Ce sont ces données qui seront transmises au médecin traitant.

Hypertension artérielle : un guide pour améliorer les soins

Célébrée le 18 décembre dernier, la journée nationale de lutte contre l’hypertension artérielle a été marquée par le lancement de la nouvelle campagne de sensibilisation « Hypertendus : suivez le guide » du Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLHTA) téléchargeable gratuitement sur son portail internet.

11,4 millions de victimes

D’après les autorités sanitaires, cette maladie chronique à l’origine de la plupart des accidents vasculaires cérébraux (AVC) concerne 11,4 millions de Français. En dix années d’observation de patients de plus de 35 ans, une hausse de 39% a été constatée et ces données sont encore sous-estimées. En effet, la pathologie chronique silencieuse tend à être banalisée et il n’y a que 54% des hypertendus pris en charge qui suivent bien leur médication et seulement 2% des malades maîtrisent l’utilisation d’un tensiomètre.

Un guide détaillé

Dans son petit guide, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle mise sur la prévention pour éviter les complications irréversibles. En premier lieu, il faut instaurer une démarche d’éducation thérapeutique des patients pour les aider à bien mesurer la tension artérielle. Cette étape permet de prévoir les facteurs de fluctuation de la tension et confirme la véracité des données. Selon les spécialistes de la maladie, il faut miser essentiellement sur les modèles de tensiomètre dotés de brassard installé sur le bras et bien respecter la « règle de 3 » : en matinée, prendre calmement la tension 3 fois avant le petit déjeuner, 3 fois en soirée avant l’heure du coucher et ce durant 3 jours consécutifs avant le rendez-vous chez le médecin. Deuxièmement, le document mise sur la bonne hygiène de vie basée sur une activité physique régulière et une alimentation saine, équilibrée et peu salée. Enfin, le « patient responsable » est appelé à bien suivre le traitement qui est adapté à sa maladie et à son organisme.

Soin à domicile : la surveillance de l’hypertension artérielle

Pour les personnes sujettes aux problèmes d’hypertension artérielle, l’auto-surveillance à domicile est indispensable pour bien suivre l’état de santé. Mais pour les malades, il est souvent difficile d’effectuer un examen adéquat et les chiffres divergent souvent de ceux enregistrés par les professionnels de santé. Pour y remédier, il existe actuellement d’innombrables modèles de tensiomètres adaptés aux habitudes et aux attentes de chacun.

Des appareils homologués

Avant de se lancer dans l’achat des tensiomètres, il vaut mieux se renseigner sur les normes CE validées par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), cette dernière dispose d’une liste des appareils accrédités visible sur son site internet. Pour plus de précision, il faut éviter les appareils de mesure qui fonctionnent avec le bout des doigts car ils sont moins fiables. Puis, une vérification du médecin est indispensable pour contrôler l’efficacité de l’appareil.

Une fréquence d’observation

Pour plus de précision, les médecins conseillent trois mesures consécutives le matin, réalisées avant le petit déjeuner et la prise du traitement contre l’hypertension. Le soir, les trois mesures sont à effectuer entre le dîner et l’heure du coucher. Cette méthode est efficace durant trois jours pour éliminer les effets des autres causes de l’élévation : stress, émotion, etc.

Bien surveiller les chiffres

En moyenne, la tension artérielle est de 14/9 mais elle peut descendre à 13/8 chez les personnes qui souffrent de maladie cardiaque ou de diabète. Pour les personnes âgées, la pression artérielle a tendance à augmenter et une surveillance assidue est indispensable à partir de 50 ans. Enfin, cette méthode ne convient pas aux personnes anxieuses et aux malades victimes de troubles du rythme cardiaque.

Accidents vasculaires cérébraux : des traitements améliorés

Selon les données statistiques, 140 000 français souffrent chaque année d’AVC ou accidents vasculaires cérébraux. En tant que première cause de handicap chez l’adulte et troisième cause de mortalité, le traitement des AVC a été largement modernisé.

Des unités spécialisées dans les hôpitaux

En termes de prise en charge, les victimes d’AVC peuvent miser sur les centaines d’unité neurovasculaires ou UNV qui existent actuellement dans les CHU et les autres établissements sanitaires. De plus, le gouvernement projette la création de 40 autres UNV jusqu’en 2014. Concrètement parlant, ces unités neurovasculaires sont des unités de soins d’urgence spécialisées et spécifiquement structurées dans le traitement des pathologies neurovasculaires. Sous la direction d’un neurologue, les UNV prennent en charge tout le traitement et la rééducation indispensable en cas d’AVC. Parmi les initiateurs du programme, Xavier Leclerc confirme : « Leur mise en place a permis de réduire à la fois la mortalité et la morbidité. Les séquelles consécutives à un AVC ont ainsi diminué de 30 % ».

AVC : une médication ciblée

Pour réduire les dommages liés aux accidents vasculaires cérébraux, Xavier Leclerc insiste sur le fait que « L’AVC est une urgence absolue. De ce fait, le délai entre les premiers symptômes et l’appel au 15 doit être réduit au minimum ». Il est donc indispensable d’utiliser un médicament thrombolytique en intraveineuse dans les 4 heures 30 qui suivent la survenue de l’AVC afin de pour dissoudre le caillot formé. De son côté, François Chollet confirme que « la recherche sur de nouveaux médicaments thrombolytiques pourrait permettre de réduire les complications liées à l’utilisation de ces substances et peut-être d’élargir encore leur fenêtre de prescription ».
Une meilleure prévention des récidives

Chez un patient sujet aux AVC, le risque de récidive est estimé à 30% dans les cinq années qui suivent le premier AVC. Pour réduire ce taux, les spécialistes préconisent l’utilisation d’un tensiomètre pour prévenir l’hypertension. Un traitement anti thrombotique et un meilleur contrôle des risques vasculaires comme l’obésité, la sédentarité et le tabagisme sont également indispensables.

Consommez des raisins et du soja pour prévenir l’hypertension !

Selon deux études financées par l’Institut National de la Santé aux Etats-Unis, les raisins et le soja seraient des aliments efficaces pour prévenir l’hypertension artérielle, facteur important de risque cardiovasculaire.

Les résultats de ces 2 études ont été dévoilées le dimanche 25 mars 2012 à Chicago lors de la 61ème conférence annuelle de l’American College of Cardiology.

Concernant les raisins : la première étude a permis de contrôler l’effet d’une consommation quotidienne de ce fruit sur la baisse de la tension artérielle chez des personnes prédisposées à l’hypertension. Cette recherche a porté sur 46 hommes et femmes : la moitié a consommé des raisins 3 fois par jour et l’autre moitié a consommé des biscuits et toute autre collation ne contenant pas de fruit ni de légume.

Concernant le soja : les chercheurs ont analysé les chiffres issus d’une étude menée en 1985 visant à analyser le risque de maladies coronariennes chez de jeunes adultes américains. Elle a porté sur 5.115 Américains blancs et noirs âgés entre 18 et 30 ans, qui ont été examinés à différentes intervalles de temps. Cette étude a dévoilé les effets des isoflavones contenus en forte teneur dans le soja, pour baisser la tension artérielle.

Les isoflavones contribuent à produire de l’oxyde nitrique dans l’organisme, afin de faciliter la dilatation des vaisseaux sanguins et par extension, réduire la tension artérielle.

Selon le Dr Harold Bays, directeur du Centre de recherche de Louiseville (Kentucky) sur l’athérosclérose et principal auteur de la recherche : "Notre étude montre que si vous avez le choix entre manger des raisins ou des biscuits au chocolat, il vaut mieux choisir les raisins, tout au moins pour faire baisser sa tension artérielle"

En effet, les résultats révèlent que les personnes ayant consommé des raisins ont vu une baisse de leur pression systolique au bout de la 4ème, 8ème et 12ème semaine. Sachant que ces fruits sont riches en potassium et antioxydants tels que les polyphénols, le Dr Bays n’a toutefois pas identifié de quelle manière ces raisins agissaient sur la tension artérielle.

Il a souligné l’importance de mener de nouveaux essais cliniques plus larges pour confirmer ces récents résultats pour évaluer les réelles propriétés curatives des produits naturels comme les fruits.

Quant aux recherches menées sur les isoflavones, les personnes qui ont consommé le plus de cette substance sur une base quotidienne ont vu leur tension artérielle nettement abaissée comparée à celle des personnes ayant consommé moins de 0,33 mg d’isoflavones par jour.

Pour cela, les spécialistes recommandent qu’il suffit de boire un verre de lait de soja par jour pour observer les effets des isoflavones (22 mg contenus dans un verre).

Surveiller la tension artérielle pour éviter les accidents vasculaires cérébraux

On ne le dira jamais assez, l’hypertension est un mal sournois qui s’installe insidieusement dans votre vie, que ce soit à cause de vos prédispositions familiales ou de votre hygiène de vie. Il est essentiel de surveiller la tension artérielle. En effet, une baisse de la pression artérielle de 2 points contribue à réduire le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) de 40%.

Les AVC touchent plus de 130.000 personnes par an, il s’agit de la troisième cause de décès en France et la première cause de handicap de l’adulte. Plus grave encore, après un AVC, une personne sur 5 meurt dans les semaines qui suivent l’accident, les survivants gardent des séquelles irréversibles voire deviennent dépendants.

Surveiller la tension artérielle implique de prendre les dispositions nécessaires pour améliorer l’hygiène de vie : éviter le tabac, le diabète et surtout, faire en sorte de ne pas être hypertendu.

Cependant, le principal souci est que plus de 4 millions de personnes hypertendues ignorent qu’elles le sont, et que la moitié des 12 millions d’hypertendus en France suivant un traitement ne voit pas d’amélioration de leur pression artérielle.

C’est pourquoi il est recommandé de surveiller l’hypertension artérielle de manière systématique à partir de 50 ans, selon les explications du Professeur Zuber, président de la Société Française de Neurologie Vasculaire, intervenant actif lors de la Journée Mondiale contre l’AVC le 29 octobre 2011 dernier. Une journée destinée à souligner l’importance de la prévention de l’AVC et des signes avant-coureurs qui devraient nous alerter pour agir au plus vite en appelant le 15 : troubles de langage, paralysie du visage ou encore troubles de l’équilibre sont à surveiller en cas d’alerte.


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